Stylo Couronne des rois de France

Utilisé de tous, le stylo renaît à Chambord ! A l'image des rois de France, ce stylo-bille trouve en son point culminant, la couronne dorée de ces grands personnages. L'encre, fidèle alliée des écrivains et des musiciens coule sur le papier depuis la nuit des temps. Avec ce bic solide et confortable à la fois, c'est à votre tour d'écrire votre histoire, vos idées, créations et devoirs inachevés

Dimensions : 139 x 8 mm

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49417
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Description du produit

Utilisé de tous, le stylo renaît à Chambord ! A l'image des rois de France, ce stylo-bille trouve en son point culminant, la couronne dorée de ces grands personnages. L'encre, fidèle alliée des écrivains et des musiciens coule sur le papier depuis la nuit des temps. Avec ce bic solide et confortable à la fois, c'est à votre tour d'écrire votre histoire, vos idées, créations et devoirs inachevés. Les traits sont lisses, durables et sans bavures. En tant que simple objet de décoration ou véritable fourniture essentielle pour les élèves, le stylo couronne Chambord apporte une touche royale à tous les environnements de travail.

La note du domaine

FRANÇOIS IER, ROI BATISSEUR DE CHAMBORD

François Ier, né François d’Angoulême le 12 septembre 1494 à Cognac est mort le 31 mars 1547 à Rambouillet. Sacré roi de France le 25 janvier 1515 dans la cathédrale de Reims, il règne jusqu’à sa mort en 1547. Fils de Charles d'Orléans (1459-1496), comte d'Angoulême, et de la princesse Louise de Savoie (1476-1531), François Ier n'était pas destiné à devenir roi. Il accède pourtant au trône en succédant à Louis XII, son cousin, qui se trouvait sans héritier à sa mort.

En 1519, il entreprend la construction d’une nouvelle maison royale à Chambord, au cœur des terres giboyeuses de Sologne. Le roi suit avec intérêt l’avancée du chantier. Il signe là un palais à son image, hérité des traditions médiévales et des idées de la Renaissance. Chambord est pour lui autant de séjour isolé où il aime venir chasser avec ses intimes, qu’une création architecturale de génie et un manifeste politique. Il y convie aussi, pour les éblouir ; des diplomates étrangers ou en 1539, son rival Charles Quint, empereur du Saint-Empire romain germanique.

A son décès en 1547, l’aile de la chapelle et l’enceinte basse ne sont pas encore achevées. Son fils Henri II poursuit ainsi l’élévation de l’aile occidentale.

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